Para já, voltar atrás e reler. E ainda mais atrás, a ideia está já nas primeiras publicações de Jean-Luc Nancy (num texto de 1977 e depois retomada na abertura de Ego Sum de 1979):
Ce qui survient au sujet, ce qui lui tombe dessus - au lieu de le soutenir d'une sub-stance, et même au lieu de le soutenir d'une parole - c'est finalement, comme on le verra, son aréalité, selon le concept qu'ailleurs nous avons commencé à proposer: son manque de réalité (qui ne fait pas absence, et qui empêche de se livrer à une égologie négative sur le mode de la théologie négative), et sa nature d'aire - area - d'espace ou d'étendue antérieurs à toute spatialité. L'aréalité n'est pas non plus la forme transcendantale de l'espace; antérieure au régime transcendantal (mais pensable seulement à partir de Kant), plus "primitive", l'aréalité s'étend comme le lieu inassignable de l'expérience informe que fait le "sujet" de son "propre" chaos.