Empêcher la colonisation du corps, et là il faudrait qu’on discute, mais Artaud passe son temps à décrire la façon dont son corps est pompé, exploité, saccagé, annulé. Même si en même temps il dit aussi qu’il y a quelque chose de son corps qui n’est pas touché, et je dirais aujourd’hui que ce par quoi son corps n’est pas touché, “car à mon corps on ne touche jamais”, est l’amour. Cette phrase est une blessure, pas une immunité.
Quatro perguntas de Jean-Clet Martin a Frederic Neyrat sobre o último trabalho deste.